Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

régulation et contrôle - Page 8

  • Surpopulation

    C'est effectivement le problème n° 1 La cause initiale. Le reste n'est que conséquences. NOUS le savons depuis bien longtemps (Malthus par exemple nous en a dit deux mots) Mais allez dire çà au Pape, aux Imams, aux fellahs et aux multinationales.

    L’attention que nous consacrons à ce problème est dérisoire, comparée à la gravité de la situation.
    L’accroissement démographique doit s’arrêter. Il devrait être ramené à zéro avant les années 20 sinon nous serons obligés de choisir entre abaisser autoritairement le taux de natalité des pays du sud ou relever leur taux de mortalité.

    Et ne nous faisons aucune illusion, les pays surdéveloppés sont incapables de nourrir les pays sous développés, surtout si ces deniers leurs envoient leur surplus démographique.

    Et que ceux qui en occident pensent au métissage, surtout culturel qu’ils cessent de rêver.

    Ils auront d’ailleurs eux mêmes à cesser tout gaspillage et à réguler, contrôler leur consommation de ressources essentielles.

    Et à penser qu’ils vivront mieux en étant moins nombreux ; qu’un nombre réduit d’enfants nécessite un nombre réduit d’écoles, nous donne des enfants mieux nourris, mieux éduqués, mieux formés et produit de meilleurs citoyens.

    Francis NERI

    04 06 15

  • Révolution

    Une révolution est souhaitée par un nombre de plus en plus important de citoyens. Il est vrai qu'une transformation complète des pratiques et du remplacement de certains pratiquants du système est vivement attendue.

    Disons qu’effectivement elle s'impose, quand plus aucune évolution n’est possible, quand le système est grippé, qu’il est de plus en plus inefficace, puis se bloque.

    Alors et il faut le nettoyer, le débarrasser de ses scories, de ses parasites.

    Une fois le Système nettoyé, certaines « remédiations » effectuées, il faut installer de nouvelles pratiques, de nouvelles régulations, de nouveaux contrôles. Par exemple pour ce qui est vital actuellement, sur l'immigration, les finances, la démographie. Se méfier alors de ceux qui veulent s’autocontrôler nous avons vu ce que çà donne avec les agences de régulation financières.

    Mais il faut aussi se dire, et anticiper le fait, qu'il y a toujours, à partir de tout changement, une récupération idéologique et commerciale et qu'au bout de quelques temps, tout redevient comme avant.

    Il faut donc recommencer et poser de nouvelles régulations, de nouveaux contrôles …et au passage éliminer quelques nouveaux prédateurs !

    Vive donc la Révolution…permanente !

    Francis NERI
    22 04 15

  • Le libéralisme

    N’en déplaise à Alain Persat qui veut à toute force « comprendre » le monde « libéral » et le dénigre sans le comprendre, le libéralisme est pour l’avenir immédiat la seule réponse possible. Il reste à le maîtriser et ce n’est pas une mince affaire ! 

    Des personnes comme Alain Persat, généralement des néo marxistes, butent encore et toujours sur l’association entre libéralisme économique, autoritarisme politique et conservatisme moral…c’est affligeant mais c’est ainsi, ils sont bloqués XIX eme !     

    Adam Smith auteur de « La richesse des nations » (I776) avait ouvert la voie au libéralisme et néo libéralisme qui se réclament de lui. Il ne prétendait pas avoir découvert de lois inéluctables du développement social et économique.

    Sa parabole de la « main invisible » ne  réduit pas le comportement humain à « l’amour de soi », au comportement aléatoire non régulé et non contrôlé des individualités, mais y ajoute l’altruisme et la sympathie.
    Bref comme toujours il y a des petits malins qui déforment et dénaturent un concept pour l’utiliser à leur seul profit.

    Ce fut pareil pour Marx qui reconnaissait que le capitalisme avait d’abord été un facteur de progrès économique rapide, mais qu’il était miné par des contradictions fatales, dont la principale oppose les intérêts du prolétariat à ceux de la bourgeoisie.

    Ces contradictions, affirmait il,  se manifestent par des crises économiques et sociales récurrentes de plus en plus  difficiles à résorber. Il est convaincu que le « système » finira par s’effondrer et donnera naissance à une société communiste.
    Le système ne s’est pas (encore) effondré et Staline a assassiné le Marxisme !

    Plus intéressant fut John Maynard Keynes, car enfin un économiste s’oppose à ceux qui croient à l’AUTOREGULATION du marché. Il proclame en 1934 : « Je me range parmi les hérétiques ». Il avait définitivement reconnu que le « laisser faire » était dépassé et même qu’il n’avait probablement jamais existé.
    Il affirme que l’Etat à un rôle crucial et important à jouer dans la régulation et le contrôle du « système » si nous voulons qu’il ne soit remplacé (dit-il en 1936) par le bolchevisme ou le fascisme).

    Que dire de plus qui ne soit déjà dit et redit ?

    Si nous voulons « comprendre » le monde, c'est-à-dire mieux l’appréhender, il nous faut d’abord admettre que nos difficultés ne viennent pas du  « système » car tout système ayant une base morale ou éthique est valable du moment qu’il n’est pas détourné de sa finalité par des prédateurs de tous les bords.
    Un Roi éclairé et aimant ses sujets est préférable à une démocratie pervertie comme le sont les nôtres.
    Au moyen orient, les fameuses « valeurs universelles » dont se gargarisent les gauches comme les droites, sans jamais d’ailleurs les désigner, n’ont absolument pas le même sens et je suis en accord total avec la candidate FN du Doubs Sophie Montel soutenant "l'évidente inégalité des races" induisant de fait un déterminisme économique, social, éducatif, cultuel et cultuel pouvant s’opposer violement au notre.

    Ce qui remet en cause et en enjeu nos représentations et notre place dans le monde : globalisation, inégalités, guerres, développement, environnement.
    Et pose la grande question et (à faire) d’une régulation et d’un contrôle planétaire sur les thèmes vitaux que sont l’économie, la finance, la démographie, l’éducation, les matières premières, et une plus juste utilisation des ressources produites.

    Alors, au-delà des fractures visibles, y a-t-il un mouvement de convergence ? Une citoyenneté mondiale peut-elle naître enfin ?      

    Nous allons vers une "société de la connaissance" et la seule question qui se pose encore en négligeant les autres, c'est celle du COMMENT et QUI y accédera... pas tous certainement.

    Sans progrès scientifique majeurs y compris en sciences humaines, l’homme ne contrôlera pas sa destinée. Sans avancées significatives le genre humain ne pourra se protéger de sa propre disparition.

    Quelqu’un ou un "ensemble" comme le Club de Rome pourrait il nous fabriquer un algorithme afin de réguler et contrôler le "bordel" le monde entier lui en serait reconnaissant.

    Francis NERI

    05 02 15